ISE POLITIQUE
Crise politique : les négociateurs se sont quittés
Les travaux des huit partis politiques associés aux négociations institutionnelles s'est achevée mardi vers 20h. La réunion avait commencé vers 9h et elle reprendra mercredi à 11h. Aucun des négociateurs n'a fait de commentaire à la sortie de la présidence de la Chambre où ont lieu les discussions autour du formateur Elio Di Rupo.
La VRT a communiqué quelques précisions sur les propositions de modification faites par le formateur Elio Di Rupo. Selon la radio publique flamande, le formateur resterait proche de sa version initiale, au grand dam du président du MR, Charles Michel.
La Communauté française ne pourrait toujours pas financer des centres culturels en périphérie bruxelloise. Il n’y aurait pas d’apparentement entre Hal-Vilvorde et Bruxelles, c’est-à-dire une forme de transfert de votes excédentaires lors des élections d’un arrondissement vers un autre.
À la Chambre, dix députés pourraient être cooptés, ce qui permettrait aux partis francophones de désigner des représentants issus de la périphérie et aux partis flamands de désigner des Flamands de Bruxelles pour siéger dans l’assemblée.
La note initiale confiait à la Cour constitutionnelle la compétence de trancher les litiges relatifs à la nomination des bourgmestres des 6 communes à facilités et la retirait aux chambres flamandes du Conseil d’État. La compétence resterait finalement dans les mains du Conseil d’État mais celui-ci se prononcerait en assemblée générale, c’est-à-dire chambres flamandes et francophones réunies.
Dans l’entourage du formateur, on s’est refusé à confirmer ou à infirmer ces informations. On s’est contenté de parler de vision parcellaire de la réalité.
Comment, un si petit Pays qui est le nôtre est il si difficile à ce faire dirigé ? Et nous n' avons que trois langues dont une ne nous poses jamais de problème, que l' ont en arrive à l' oublier, je veux parler des Germanophones. Mais pour les deux autres dont une spécialement, ne nous cachons pas la face, ce sont ceux qui n' arrêtent pas de nous mettes des bâtons dans les roues je veux évidemment parler des Flamands ( extrémistes je veux bien) mais qui font partie d' un parti majoritaire et séparatiste de surcroît.Trois langues dont deux majoritaires et pas moyen de conclure. Alors que n' allons pas si loin, nous avons encore un petit Pays, la Suisse qui eut ont bien plus de langues différentes et pourtant nous n' entendons jamais parler de crise politique. Vous me direz que eux ne font pas partie de la zone Euro et que, eut sont beaucoup plus riche que nous, il est évident que si toute les grosses fortunes tant Politiques que autres au lieu de laisser et faire fructifier leur argent dans leur propre Pays et non justement d' allez le placer dans des paradis fiscaux tel que un parmi d' autres, le prénommé, nous ne serrions pas autant de Pays dans de tels déficits. Et ceci est en majorité la cause de toute ces crises financières actuelles car en résumé, tout tourne autour de l' ARGENT.
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