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samedi 5 novembre 2011

PAPANDREOU est finit et alors ??



  • Mise à jour : samedi 05 novembre 2011 07h14
GRECE

Papandréou remporte la confiance et se prépare à passer la main


  • Source: AFP
  • Papandreou a prononcé un discours en forme de testament politique.
Papandreou a prononcé un discours en forme de testament politique.
Ouf! Sarko et Merkel vont pouvoir respirer. Le Premier ministre grec Georges Papandréou a obtenu samedi tôt le matin la confiance du parlement après une semaine de psychodrame dans la zone euro. Il est prêt à passer la main au sommet de l’Etat grec.
Le Premier ministre grec Georges Papandréou a obtenu samedi tôt le matin la confiance du parlement après une semaine de psychodrame dans la zone euro, ce qui ouvre la voie à la préparation d’un gouvernement de coalition, dont il ne fera pas probablement pas partie.
M. Papandréou, qui a obtenu 153 voix sur les 298 votes exprimés, était loin d’être sûr de survivre à l’épreuve, après la crise ouverte au sein de son propre parti socialiste déclenchée par sa tentative d’imposer un référendum pour valider le plan européen d’aide à la Grèce.
« Samedi (à midi), je vais rendre visite au Président de la République pour que nous nous mettions d’accord sur la composition d’un gouvernement de consensus et même de savoir qui va le diriger », a-t-il dit devant le parlement.
Paradoxalement, le vote de confiance devrait lui permettre de partir la tête haute, après la panique créée en début de semaine sur les marchés financiers mondiaux par son annonce de référendum et la colère des créanciers du pays qui l’ont sèchement convoqué pour le menacer de couper les vivres au pays.
« Testament politique »
« Je n’ai jamais vu la politique comme une profession », a souligné M. Papandréou au cours d’un discours en forme de testament politique, où il a rappelé qu’il avait oeuvré « pour faire des pas en avant même avec un coût personnel et ayant comme objectif l’intérêt de la démocratie, de la patrie et du citoyen ».
« Si je ne reste pas au pouvoir, je vais rester parmi ceux qui servent l’intérêt national et c’est pourquoi je suis en faveur d’une coopération nationale », a-t-il dit.
En jeu se trouve la ratification par le parlement grec de la deuxième aide décidée par les Européens pour la Grèce la semaine dernière à Bruxelles, prévoyant 130 milliards d’euros combiné à une réduction de 100 milliards de dette publique par les banques, ainsi que le vote rapide des mesures d’austérité budgétaire demandées par les créanciers.
Le ministre des Finances Evangélos Vénizélos, poids lourd du parti socialiste, qui a pris ses distances avec le Premier ministre tout en votant pour lui, a souligné que la ratification de l’accord par le parlement permettra la normalisation de la vie politique, et surtout le versement avant le 15 décembre d’une aide vitale pour le pays au bord de la faillite.
Nouveau premier ?
Toutefois le processus de formation d’un gouvernement de coalition, demandé depuis des mois par les créanciers du pays dans la ligne des consensus obtenus au Portugal et en Irlande, ne va pas de soi dans un pays à tradition fortement bi-polarisée.
Jeudi, le chef du parti de droite Nouvelle Démocratie (ND) Antonis Samaras s’était dit opposé à toute coopération tant que M. Papandréou, très affaibli par la crise du référendum, continuait d’être Premier ministre et avait réclamé sa démission. Il a aussi conditionné sa participation à un gouvernement d’unité nationale à l’organisation d’élections d’ici la fin décembre.
Refusant obstinément jusqu’à présent les mesures d’austérité imposées en échange du prêt au pays, la droite avait fait un pas en avant jeudi, alors que le gouvernement menaçait de s’effondrer, pour accepter de voter en faveur du plan européen sous certaines conditions.
Il s’oppose en particulier aux hausses d’impôts décidées par le gouvernement et réclame une renégociation de certaines d’entre elles, ce qui fait douter certains analystes de la réussite de la coalition gouvernementale future.
Pas timide
« M. Samaras n’a fait qu’un pas timide et insuffisant à la dernière minute qui ne garantit pas son feu vert pour les mesures d’austérité accompagnant le plan européen », estime ainsi Thanassis Diamantopoulos, professeur de sciences politiques à l’université de Panteion à Athènes.
Les deux parties n’ont que quelques jours pour s’entendre face aux échéances européennes. Lundi, débute une réunion des ministres des Finances de la zone euro où la Grèce compte négocier le déblocage d’ici à la « fin février » de 80 milliards d’euros dans le cadre du plan européen négocié à Bruxelles

jeudi 3 novembre 2011

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mercredi 2 novembre 2011

De nouveaux, les profanateurs de tombes dévastent nos cimetières.

'urgence a tout le monde !

des gens sans scrupules volent dans les cimetières ! Enlevé tout se qui est en marbre ! statues


d'anges ! tout se qui est en verre ! des bandes des pays de l 'Est et d'autres volent sur les


 tombes, pour les vendre sur des marchés dans leurs pays où sur des brocantes ! l'hiver est


 propice à ces monstres ! soyez vigilant ! c'est une honte de plus que Dieu punira !!!faites passer


 se message urgent partout avant que les tombes de nos défunts soient la proie de ces diables


 sans coeur ...faites passé dans l 'urgence a tout le monde !

mardi 1 novembre 2011

EVIDEMMENT QUE LE PEUPLE VOTERA NON A CE RÉFÉRENDUM.



Le référendum grec fait dégringoler les Bourses

  • Source: Belga
  • Le Premier ministre grec Georges Papandreou dans une position difficile entre les exigences de l’Europe et celles de son peuple.
Le Premier ministre grec Georges Papandreou dans une position difficile entre les exigences de l’Europe et celles de son peuple.



SUR LE MÊME SUJET
Le Premier ministre grec Georges Papandréou a annoncé l’organisation d’un référendum en Grèce afin d’approuver l’accord conclu la semaine dernière au sommet européen pour effacer une partie de la dette publique grecque. Résultat : les Bourses dégringolent.
Les Bourses européennes dégringolent ce mardi matin, plombées notamment par le plongeon des valeurs bancaires, les investisseurs étant à nouveau inquiets pour la zone euro après la décision de la Grèce d’organiser un referendum sur le plan d’aide décidé à Bruxelles.
A l’ouverture, la Bourse de Paris affichait un recul de 1,89%, Francfort de 3,37%, Londres de 1,71%. La Bourse de Madrid chutait de son côté de 2% et Milan de 3%. Une trentaine de minutes après le début de la séance, toutes ces places financières accentuaient leur pertes, notamment Paris (-3,28%)
L’Asie n’a pas échappé à la morosité, la Bourse de Tokyo cédant 1,70%, Hong Kong 2,49%, tandis que Shanghai parvenait à finir à l’équilibre.
La réapparition des inquiétudes concernant les dettes publiques dans la zone euro a également déprimé la Bourse de New York lundi soir, le Dow Jones perdant plus de 2%.
Ce referendum « a pris les marchés par surprise et les a choqués », a souligné à Paris le courtier IG Market dans sa note quotidienne.
« Que va-t-il se passer si le peuple dit Non? Le risque est que la communauté internationale coupe l’arrivée d’argent et que le pays finisse par quitter l’euro. Il y a de quoi inquiéter sérieusement les investisseurs », a commenté à Francfort Christoph Weil, analyste de Commerzbank.
La volonté grecque contre tous
« La volonté du peuple grec s’imposera à nous », a déclaré lundi, Georges Papandréou au groupe parlementaire socialiste, tout en indiquant aussi qu’il allait demander un vote de confiance au Parlement sur l’accord sur la dette.
Les Grecs « veulent-ils l’adoption du nouvel accord ou le rejettent-ils ? Si les Grecs n’en veulent pas, il ne sera pas adopté », a déclaré le Premier ministre.
Des manifestations se sont déroulées vendredi dernier dans de nombreuses villes à travers le pays, à l’occasion des célébrations de la fête nationale, pour protester contre la politique d’austérité du gouvernement socialiste et les conséquences de l’accord européen qui donnent aux créanciers plus de contrôle sur la politique budgétaire du pays, faisant craindre à certains une perte totale de souveraineté.
Les Grecs ne veulent pas de l’accord, selon un sondage
Un sondage paru le week-end dernier montre qu’une majorité de Grecs jugent les décisions du sommet négatives, 12,6 % seulement les jugeant positives. Le sondage, mené par l’institut Kapa Research pour le journal To Vima, a été mené auprès de 1.009 personnes.
Georges Papandréou dispose d’une majorité de 153 députés au parlement (sur 300 sièges) mais fait face à une montée des oppositions au sein de son propre parti.
Jeudi dernier, au terme d’un sommet marathon, les dirigeants européens ont trouvé un accord avec les banques pour effacer une partie de la dette grecque détenue par les banques créancières du pays.
L’accord conclu avec les banques porte sur un renoncement de 50 % de leurs créances, soit cent milliards d’euros sur un total d’endettement public du pays de 350 milliards d’euros.
Nouveaux soutiens internationaux
Athènes recevra en outre de nouveaux prêts internationaux de 100 milliards d’euros également d’ici fin 2014, dans le cadre d’un programme qui remplace celui de 109 milliards d’euros décidé en juillet par l’UE et le FMI.
Par ailleurs, dans le cadre de l’accord, 30 milliards d’euros sont réservés aux banques grecques, qui vont beaucoup souffrir de l’opération d’échange de dettes à 50 % de leur valeur, étant les plus grosses détentrices d’obligations souveraines grecques.
En échange, le pays doit accepter un vraisemblable renforcement des contrôles sur sa politique budgétaire, jusqu’à présenté contrôlée tous les trois mois par une « troïka » où sont représentés les trois principaux créanciers du pays : Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international.
A l’issue de l’accord jeudi, le gouvernement grec a indiqué que des membres de la troïka seraient désormais en permanence en Grèce.
La dette de la Grèce s’élève à 350 milliards d’euros, soit environ 160 % de son PIB. Selon les termes de l’accord, la dette devrait être ramenée à 120 % du PIB d’ici 2020.